Excellente analyse du problème de la gamme Lexus et du positionnement de sa clientèle.
Traduction (libre) du début de l'article:
Lexus a un problème. La marque de luxe de Toyota est - ne le dites pas trop fort - pas cool.
La douceur fade et le silence des modèles actuels de LS et ES attirent de plus en plus une génération dont l'idée d'une bon 'drive' est plutôt celle d'un parcours de golf au country club avec leurs copains à la retraite.
Le grondement de l'IS-F pourrait être celui d'une berline sport intrigante type AMG rencontre-Ginza, mais le reste de la gamme IS reste résolument considéré comme une 'chick car' (voiture de femme).
Le RX, qui est devenu le leitmotiv de la marque aux Etats-Unis, est maintenant la voiture préférée des femmes d'un certain age modérément prospères de banlieue.
(Comment Toyota a pu gaspiller l'occasion de définir la marque Lexus avec la LS originale, une voiture si renversante et bien conçu qu'elle a renvoyé Mercedes-Benz à la planche à dessin, et au lieu de ça a permis à un SUV Toyota réchauffé de prendre sa place est une toute autre histoire.)
Et les ventes de la HS 250h sont tombées bien en deçà des attentes: Lexus avait prévu de vendre 25.000 à 30.000 en une année, mais l'année dernière a permis d'écouler moins de 11 000 de l'hybride compact.
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